Mon univers dramatique : les thèmes

Rédigé par S.L. le 29 décembre 2013 | Classé dans Univers dramatique
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Thèmes principaux :

la quête d'identité, la construction de la personnalité, le basculement d'une vie par une prise de conscience, la condition féminine, l'illusion, l'inadaptation à la réalité, le rêve, les croyances, la fuite du temps, la perfectibilité, le non-achèvement

Thèmes secondaires :

la discrimination sexuelle, les inégalités sociales et familiales, le positionnement de l'individu dans la sphère sociale, vis-à-vis des autres, vis-à-vis du fonctionnement de la société, la lutte sociale, les mineurs de fond, la guerre, les croyances et préjugés racistes, l'idéologie libertaire, les médias, l'éducation, la Nature, la mémoire, la connaissance, l'expérience.

la création artistique et les difficultés qu'elle rencontre, l'Art nouveau, la danse, la curiosité intellectuelle

la vieillesse, la maladie, la mort, la fragilité de l'amitié, le questionnement de l'amour.

Mon univers dramatique : les genres

Rédigé par S.L. le 22 décembre 2013 | Classé dans Univers dramatique
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Périodes : La Belle Epoque, à partir de 1945, le présent, le futur

Genres :

Socle documentaire : historique, uchronie, biopic, documentaire

Socle psychologique : drame, drame psychologique

Socle spéculatif : fantastique, science-fiction, utopie, dystopie, anticipation

Socle de l'aventure : road movie, jeunesse

Influences en vrac

Rédigé par S.L. le 21 décembre 2013 | Classé dans Univers dramatique
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Influences en littérature : JL Borges ( Le Livre de sable, Fictions), Haruki Murakami (Kafka sur le rivage), Paul Auster (Mr Vertigo, Trilogie New-Yorkaise), Mark Z. Danielewski (La Maison des feuilles), Jacques Sternberg, John Burnside, Pablo de Santis, Lewis Carroll, Jonathan Swift, Patrick Süskind, Carlos Ruiz Zafon (L'ombre du vent), Ray Bradbury (Chroniques martiennes), Richard Matheson (Je suis une légende), George Orwell (1984, La Ferme des animaux), Emile Zola (Germinal), Marguerite Duras (Moderato cantabile), Auguste Villiers de l'Isle Adam (L'Eve future, Contes cruels), Georges-Olivier Chateaureynaud, Claude Pujade Renaud (La Danse océane), Laurent Mauvignier, Régis Jauffret, Michel Butor.

Influences au cinéma : : Los Otros, Dans la peau de John Malkovitch, Le Limier, La Leçon de piano, Bienvenue à Gattaca, Brazil, Il était une fois dans l'ouest, Dogville, Melancholia, le fabuleux destin d'Amélie Poulain, Elephant Man, Shining, La Rose pourpre du Caire, Match Point, Minuit à Paris, Jackie Brown, Unglorious Basterds.

Influences en bande dessinée: : Benoit Peeters et François Schuiten, Marc-Antoine Mathieu, Etienne Davodeau, Jirô Taniguchi, Philémon de Fred, Polina de Bastien Vivès, Death note de Tsugumi Ohba, Le Petit Prince de Joann Sfar, Le portrait de Dorian Gray d’Oscar Wilde de Stanislas Gros, L’hypnotiseur de Juan Saenz Valiente & Pablo de Santis, Monsieur Mardi-Gras Descendres d’Eric Liberge, Un peu de bois et d’acier de Chabouté.

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Réflexions sur les différents supports narratifs

Rédigé par S.L. le 21 décembre 2013 | Classé dans Univers dramatique
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Le support est primordial lorsque l'on raconte une histoire.

Ainsi, écrire le scénario d'un court-métrage n'a rien à voir avec écrire un scénario de bande dessinée, une saynète ou une nouvelle.

Quelles potentialités les plus fortes offre chacun de ces médias ?

- le roman : le lecteur participe pleinement à la construction de l'univers dramatique de l'auteur, en imaginant les personnages, aux portraits plus ou moins détaillés, les décors, plus ou moins décrits. Aucun des cinq sens n'est imposé au lecteur, mais TOUS peuvent être pleinement utilisés. A l'écrivain de décider. Le narrateur et les personnages peuvent pleinement exprimer leurs pensées. Le roman est l'espace de liberté imaginaire la plus totale.

- la nouvelle : elle diffère du roman en ceci qu'elle exprime beaucoup en peu de pages, et s'achève souvent par une chute qui crée la surprise. Cela peut également être une tranche de vie.

- le court-métrage : proche de la nouvelle dans les intentions, comme le long-métrage, il donne corps aux personnages et réalité aux décors. Par son format court, il peut être la loupe qui met l'accent sur une situation, sur un événement, sur une tranche de vie, sans raconter forcément une histoire.

- le long-métrage : proche du roman dans les intentions, il donne corps aux personnages et réalité aux décors. Il impose au spectateur sa perception visuelle et sonore des actions et du contexte. Il conserve au contraire son pouvoir suggestif dans le choix du moment, du cadrage, de l'image, de ce qui est dit et montré, de ce qui est audible. On peut d'ailleurs s'amuser à montrer une chose (exemple : un évier) et entendre les personnages parler.

- le clip vidéo : le clip vidéo donne à voir, complète ce qu'il donne à entendre. Il ne doit pas être redondant, ou simplement illustrer le propos, mais doit au contraire donner plus de force au texte.

- la bande dessinée : la bande dessinée donne à voir et à entendre comme au cinéma, mais comme en littérature, elle se permet aussi parfois de donner à lire les pensées des personnages.

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