Une oeuvre majeure pour sa description de la condition des femmes. Au coeur de ce roman, la lettre que l’une d’elle adresse à sa meilleure amie, pendant la réclusion traditionnelle qui suit son veuvage. Tandis que sa belle-famille vient prestement reprendre les affaires du défunt, Ramatoulaye évoque avec douleur le jour où son mari prit une seconde épouse, ruinant 25 années de vie commune et d’amour.
J’ai lu les 60 premières pages. Le style est lent mais beau, mais l’histoire ne m’a pas séduite au point de poursuivre.
BA, Mariama.- Une si longue lettre.- Paris : LE SERPENT A PLUMES, 2003.- 164 p..- Motifs, 137.- ISBN 2-84261-289-2