Categorie ‘Carnet d’Ecritures

La Lampe au chapeau

18.06
2014

La Lampe au chapeau

 

Mon troisième roman

L’histoire en quelques mots :

Après la seconde guerre mondiale, Jean, un mineur prisonnier de guerre, retourne à la fosse, à Bruay-en-Artois, fonde une famille et décide de ne plus penser qu’à profiter de sa vie, de ses congés et de sa liberté. Mais c’est sans compter les mouvements de grève où il est vite stigmatisé. A l’opposé, Alexandre, son neveu, place l’intérêt des siens et de ses compagnons au-dessus de son propre intérêt particulier. Et contrairement à Jean, il rentre de la guerre d’Algérie instruit et révolté…

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Genre : Historique
Format : Exlibris (14,8x21cm)
Pages : 366
ISBN : 978-2-9543969-2-7

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Prix public du livre : 19 €

en vente ici

Heurter la solitude

13.03
2013

 Mon deuxième roman…

Acheter Heurter la solitude

Lou Sorel

a le plaisir de vous annoncer

la parution de son roman


Heurter la solitude


le 13 mars 2013

 

 

L’histoire en quelques mots :

Deux voix s’expriment au moyen d’un journal, celles de deux personnages qui s’engagent dans la vie adulte, avec une appréhension telle qu’ils la retournent avec violence contre eux-mêmes. La jeune femme sera moi, le jeune homme sera toi. L’un pourrait être un personnage fictif, l’autre réel. Mais où s’arrête la réalité ? Et où commence la fiction ?

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Le livre Heurter la solitude

Prix public du livre : 13 € – prochainement en vente ici ou sur Amazon.

Acheter Heurter la solitude

Prix public de l’e-book : 3 € - Cliquez ici pour lire Heurter la solitude.

ISBN 978-2-9543669-1-0 – EAN13 9782954366910

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Relative concupiscence de Soixante Treize

12.12
2012

 

Relative concupiscenceRien ne laisse supposer au tout début qu’il s’agisse de science-fiction : tout commence par une histoire d’amour qui finit mal. L’écriture est travaillée, l’analyse psychologique domine des dialogues, qui, contrairement à la plupart des romans de SF, ne sont pas omniprésents. L’intrigue démarre lentement, mais sûrement, prend le temps de brosser le portrait psychologique de personnages qui se révéleront pourtant n’être que secondaires par la suite.

Car celle dont on se souviendra en fermant le roman, celle qu’on ne peut oublier, n’est pas celle que l’on croit. Si Salomé enflamme tout le début de roman, elle reste quantité négligeable auprès de cette créature immortelle qui va surgir d’un monde parallèle, ineffable, intouchable.

Car Relative concupiscence pose l’hypothèse de mondes multiples, habités par trois espèces intelligentes différentes, dont l’une issue de l’eugénisme positif. Le roman aborde alors le thème de l’altérité et du désir, du plus bénin au plus cher à l’humanité : celui l’immortalité.

Il s’agit de mon tout premier roman, écrit en 2003, en vente sur Amazon et sur TheBookedition.com.

En savoir plus sur mon site professionnel.

Hommage à Jacques Sternberg (1923-11 octobre 2006)

11.10
2011

En l’honneur du 5e anniversaire de la mort de Jacques Sternberg

«  T’es rien  »  ?

On meurt deux fois.

La première fois de sa vraie mort, biologique, inéluctable, celle qui aura été le thème central, obsessionnel, de toute l’œuvre de Jacques Sternberg, terrifié à l’idée de mourir. La seconde, c’est lorsqu’on tombe dans l’oubli, quand notre nom n’évoque plus rien à ceux qui restent.

Et cette deuxième mort peut être tout aussi effrayante pour un artiste, notamment pour un écrivain tel que Jacques Sternberg, si ce n’est davantage, que la première, car cela signifie qu’on ne le lit plus, que son œuvre après lui s’est éteinte elle aussi, pas plus durable que l’airain. Alors que faire  ? Pour les éditeurs, rééditer ses oeuvres  : c’est ce qu’ont fait dernièrement Albin Michel, Mijade, La Table ronde et les éditions de La dernière goutte. Pour ceux qui ont eu la chance de côtoyer Jacques Sternberg  : continuer à parler de lui, écrire sa biographie. Et puis ? Pour ses lecteurs qui, comme moi, l’estiment, il reste une possibilité, celle de favoriser la communication autour de ses textes, de jouer le rôle de passeur culturel auprès des non-initiés. Enfin est née l’idée de cet essai qui disséquerait son œuvre toujours vivante, pour en faire miroiter les entrailles, desquelles, d’un coup de scalpel, jaillit l’absurdité de notre condition humaine. Sternberg avait beau dire  : « t’es rien », conscient de sa propre finitude de terrien, il n’est pas dit que, de ce conteur intarissable de la terreur quotidienne, on enterrera l’oeuvre aussi…

 

… et ce même jour, mardi 11 octobre 2011, annonce dans La Nouvelle République, de la mort de Jean Gourmelin, illustrateur et dessinateur de presse, dont la rencontre avec Jacques Sternberg en 1968, dont il deviendra l’ami, fut déterminante : il abandonna dès lors le domaine de l’Art et la direction des ateliers du maître verrier Max Ingrand pour partir, sur ses recommandations, travailler dans la presse et dans l’édition, illustrant entre autres ses chroniques dans France Soir et ses anthologies. Découvrez ou retrouvez ses univers à l’exposition de la Bibliothèque du Centre Pompidou.

Denis Chollet avait d’ailleurs écrit en début d’année un article sur Jacques Sternberg et Jean Gourmelin dans le numéro 28 de la revue Papiers Nickelés.

Sortie en librairie de « Jacques Sternberg » par Sandrine Leturcq

01.09
2011

Vient de paraître

 

JACQUES STERNBERG

Une esthétique de la terreur

 

 

Sandrine Leturcq


Collection : Approches littéraires

 

Il s’agit de l’unique essai littéraire publié à ce jour sur cet écrivain dont l’œuvre se révèle d’une effrayante actualité.

En plus de cinquante années de carrière, de 1944, avec Angles morts, à 2002, avec 300 contes pour solde de tout compte, Jacques Sternberg aura écrit seize recueils de récits brefs, autant de romans et de nombreux ouvrages inclassables et variés, sous son nom ou sous d’autres pseudonymes, cinq essais autobiographiques, trois pièces de théâtre, deux essais, deux dictionnaires, deux lettres ouvertes, des anthologies, des scénarii, dont un pour Alain Resnais (Je t’aime je t’aime), et d’innombrables chroniques littéraires pour la presse écrite. Mais c’est avant tout dans ses contes et nouvelles que Jacques Sternberg excelle, des récits brefs d’où jaillit un regard lucide et terrifiant sur notre condition humaine. Et c’est sur ce sujet que porte mon travail d’analyse.

 

Sandrine LETURCQ s’est spécialisée dans l’étude du fantastique et de la science- fiction. Professeure-documentaliste en lycée depuis une quinzaine d’années, forte de l’expérience de séances d’incitation à la lecture et à l’écriture, elle sait combien ce type de textes très courts à chute se prête parfaitement à un travail d’analyse littéraire en classe, pouvant déboucher sur une écriture d’invention « à la manière de »… Sternberg !

 

ISBN : 978-2-296-56318-6 • septembre 2011 • 154 pages

Prix éditeur : 15 €

En vente sur le site de L’Harmattan, dans votre librairie, et sur Amazon, la FNAC, Chapitre.com, Gilbert jeune, etc.

Remerciements à Laurent d’In Cold Blog pour en avoir parlé.