Categorie ‘Brèves culturelles

Yes you can !

08.12
2013
cop. Larousse

cop. Larousse

 

Lire en Version Originale avec la nouvelle collection « Yes you can ! » de Harrap’s

Harrap’s lance une nouvelle collection de romans unilingues de langue anglaise, à la lecture facilitée par la traduction de mots-clés ou d’expressions pouvant poser difficulté. Mais, plutôt que de les traduire dans un lexique en fin d’ouvrage ou en notes de bas de page, « Yes you can » fait le choix bien plus judicieux de les placer immédiatement en annotation dans la marge, de manière à interrompre le moins possible le fil de la lecture. Sept romans anglophones de cette collection sont déjà en vente, à 8,90 € ; il s’agit tous de best-sellers :

AUSTER, Paul. Oracle night. 238 p.
BARNES, Julian. The Sense of an ending. 156 p.
COBEN, Harlan. Tell no one. 381 p.
CONNELLY, Michael. The Drop. 430 p.
FOLLETT , Ken. Paper Money. 291 p.
KING, Stephen. Misery. 383 p.
JAMES, Phyllis Dorothy. – A Mind to Murder. 302 p.

Cela donne franchement envie de s’y plonger pour relever le défi. C’est tellement mieux de lire dans le texte sans l’intermédiaire du traducteur !

 

Nina Dipla : Rosa

15.06
2013

Hier soir, j’ai assisté à la première représentation publique de Rosa au Centre Chorégraphique National d’Orléans de Nina Dipla, danseuse-chorégraphe grecque, que j’ai eu la chance d’avoir comme professeure à l’une des sessions de danse contemporaine. J’avais adoré son spectacle précédent, qui tourne d’ailleurs toujours, Une attraction invisible, où deux moments très forts m’avaient marquée : la pluie de cannelle en suspension au-dessus et autour d’elle en mouvement, et sa prouesse technique de l’insecte s’agrippant au mur.

Rosa, comme le titre l’indique, est l’histoire d’une femme, de toutes les femmes… grecques. Au départ, Rosa est très sexy, les talons hauts, une robe blanche ultra courte, le regard dissimulé par une paire de lunettes de soleil. Elle perd l’argent qu’elle avait dans son bustier… symbolisant la Grèce, la pute qui a été dépouillée de toutes ses richesses… Se retrouvant quasi-nue à la fin de cette première scène, elle enchaîne sur une femme libérée à la plage. Elle va ainsi, avec ses accessoires – foulard, robes, pièces, billets, talons hauts – nous montrer les différentes facettes d’une femme au bord de la crise de nerfs. Pour revenir à la toute fin, après une danse avec un spectateur, à son état premier. Un spectacle de danse moins dynamique, moins fort que le précédent dans l’interprétation, plus puissant dans la symbolique.

Pour en savoir plus, allez donc voir sur son site, très chouette : http://www.ninadipla.com/.