A propos
2013
Pour m’écrire : carnets2sel at gmail.com
Mais qui est derrière Carnets de SeL ?
Petite biographie de cent lignes à l’usage des internautes
« Carnets de SeL » a toujours aimé lire, écrire aussi.
A l’école, elle réclame des romans en cadeau d’anniversaire – Hector Malot, Augustine Fouillée -, des livres du C.D.I. du collège où travaille son père ; chez ses grands-parents, elle dévore les comics et bandes dessinées de son oncle ; aux récréations, elle lit ses propres contes et nouvelles aux plus jeunes regroupés autour d’elle.
Arrivée au collège, elle avale tout Balzac, Maupassant, … ainsi que la bibliothèque de son père – Troyat, Tolkien, Daphné Du Maurier,… Elle écrit quelques nouvelles fantastiques.
Au lycée, les dissertations qu’elle prend plaisir à rédiger tout le week-end ralentissent son rythme de lecture : d’une quinzaine de romans par mois, elle chute à une petite dizaine. Parmi tous les métiers qui s’offrent à elle, elle n’ose pas choisir celui d’écrivain : d’ailleurs est-ce vraiment un métier ? Peut-on en vivre ? Plein d’imagination mais les pieds sur terre, elle n’ose parler de ce désir à personne. Elle prend alors exemple sur Borges en choisissant la voie de professeure-documentaliste : bibliothécaire, oui, mais dans un lycée, de façon à donner le goût de lire non pas à des lecteurs déjà convertis mais à toute une génération scolarisée avant l’âge adulte. Devenir professeur de lettres, au grand étonnement de beaucoup, ne la tente pas : trop de corrections, trop de rabâchage grammatical, trop d’analyses stylistiques faisant perdre le désir vierge de découvrir un texte. Et puis, cela lui laisse ainsi du temps, beaucoup de temps pour continuer à lire et surtout à écrire.
Comme elle n’a pas envie de délaisser l’une ou l’autre des ses matières après le bac, notamment la littérature, la philo et l’allemand, elle fait le choix de la pluridisciplinarité : elle part en classe préparatoire aux grandes écoles.
En hypokhâgne et khâgne, elle passe d’une lecture extensive à une lecture intensive : à l’époque, il suffit de lui citer une phrase de L’Education sentimentale pour qu’elle en devine la page à cinq près. Elle a même calculé sa vitesse de lecture ! 75 pages d’un poche par heure. A la fin des deux années, au grand dam de ses professeurs pour qui leurs élèves sont tous de futurs agrégés, elle entérine le choix de passer le « simple » CAPES de documentation, alors qu’elle fait partie du trio de tête. Certainement par goût de la provoc aussi.
Partie en licence de lettres, après avoir hésité avec la philo et l’allemand, elle étudie notamment la littérature fantastique. Elle reprendra ses études quelques années plus tard pour suivre à Paris une maîtrise de lettres spécialisée en
Aussitôt passé, aussitôt obtenu le CAPES documentation, auquel on était admissible à l’époque en passant celui de Lettres modernes, elle intègre dès la première année de sa carrière le comité de rédaction de la revue professionnelle nationale des professeurs-documentalistes. Elle trouve sa légitimité pédagogique à force de projets culturels et artistiques ambitieux. Elle devient référent culture, obtient la mention complémentaire d’histoire des arts :
En quinze ans de carrière, elle aura rédigé une quinzaine d’articles, une contribution à un ouvrage professionnel et des centaines de chroniques littéraires.
Après s’être essayée à de multiples danses (africaine, cubaine, américaine), elle suit pendant un an des cours de danse contemporaine, plus créative, au Centre Chorégraphique National d’Orléans.
Parallèlement, elle écrit , qui sera publié chez l’Harmattan, et en huit ans,
Bénéficiant d’un congé formation en 2013-2014, tout en préparant une agrégation en philosophie, elle en profite pour envisager
A partir d’octobre, elle intègre l’équipe d’Image in Art, association de création et production audiovisuelle, et suit la
En novembre, elle bénéficie d’un stage de formation à l’écriture du scénario de bande dessinée auprès de Laurent Galandon.
D’octobre 2013 à septembre 2014, elle suit une
C’est par pur hasard que j’ai eu la chance de tomber sur ce blog,qui me semble être un support des plus passionnant .Je remercie à l’occasion l’initiateur qui a eu le mérite de mettre à disposition des internautes détenant un trésor culturel et réstés dans l’anonymat,ce moyen afin de mettre en évidence leur know-how.La culture est universelle et c’est par devoir que tout individu dotée de cette richesse est convié d’en éclairer ses semblables.
Merci !
Le sel est ce qui relève le goût des choses. Merci de votre petit grain qui relève le goût de lire. Je vous souhaite, pour vous et ceux que vous aimez, une année pleine d’émotions inattendues et de noires lectures, ainsi qu’un très Happy Yeruldelgger…
Cordialement
Ian Manook
https://www.facebook.com/Ian.Manook.Auteur?ref=tn_tnmn
Bonne année 2014 : que cette année exauce tous vos projets.