« Dans mon village, c’est comme ça qu’on appelle les filles, des baguettes. Les garçons, eux, ce sont des poutres. Ils disent que les filles ne servent à rien et que ce n’est pas avec des baguettes qu’on peut soutenir un toit. » (p. 22)
« Comment une simple baguette pouvait-elle nourrir l’espoir de devenir une poutre ? » (p. 30)
Baguettes chinoises de XINRAN (2008)