Mots-clefs ‘santé’

Mitsuko attitude de Mamoru Kurihara

06.08
2013
cop. Delcourt

cop. Delcourt

Après la mort successive de sa mère puis de son père, d’un cancer du pancréas, Mitsuko, jeune fille débrouillarde, essaie de vivre seule mais son patron lui fait plus que des avances chez elle, et elle est contrainte d’accepter de vivre chez son oncle et tante. Là elle apprécie de se sentir entourée, même si elle a des mots avec sa petite cousine très intelligente du CP. Mais les coutumes de cette famille lui semblent vite bizarres : si elle est heureuse de trouver une assiette remplie de fruits pour son petit déjeuner, elle est très surprise de découvrir son oncle nu en train de se faire des lavements, et son beau cousin buvant son urine…

Oh là ! C’est trash ! Ce premier tome à l’apparence rose bonbon guimauve cache bien son jeu en démarrant très scato. Gageons que le cousin s’est bien fichu d’elle et qu’il boit tout simplement du thé ! En tout cas, cette auteure âgée de quarante ans n’y va pas avec le dos de la petite cuiller : l’odeur du caca, du pipi, le cancer, la mort,… Un peu perplexe, j’ai fait ma petite recherche sur google pour vérifier l’épilogue pédagogique et effectivement, certains le préconisent. Pour faire passer le message de « mieux vaut prévenir avant de s’apercevoir que l’on ne peut plus en guérir », la mangaka y va fort, proposant des solutions extrêmes, tout cela avec beaucoup d’humour, avec un graphisme assez représentatif du shôjo.

Emprunt au CDI du lycée

 

Le cahier jeune maman des paresseuses

21.12
2012

cop. Carnets de SeL

 

Des livres pour aider les jeunes mamans à s’occuper de leur nouveau-né, il y en a des tas. Alors, forcément, ce cahier peut paraître redondant, du moins pour les premiers chapitres. Mais voilà, en ces mois de galère pour trouver ses marques, tout conseil supplémentaire est le bienvenu ! On trouvera ainsi de nombreux tableaux pratiques, tels celui qu’on nous donne à la maternité, et de multiples check-list, pour rester belle quand même, pour garder le moral, pour éviter la MSN (mort subite du nourrisson), pour diversifier son alimentation, etc…

En outre, ce cahier décrit avec humour les situations qui nous stressent tous les jours. De quoi rassurer : d’autres vivent exactement les mêmes suites de couches !

Et puis, vous avez bien lu « cahier », et qui dit cahier, dit de quoi noter… Le vrai plus de ce petit bouquin, c’est de proposer d’être complété par notre expérience personnelle et par nos photographies de l’enfant prodige à coller à l’intérieur, de manière à vouloir le conserver et à garder une trace, tel un album de naissance, de tout ce qui a marqué sa première année de naissance.

offert par Anne

 

Que choisir Santé ** (2006)

17.02
2011

Copyright Que Choisir Santé

Parce que la lecture, c’est aussi lire la presse :

Un magazine d’information sur la santé à la loupe

Que choisir santé est une publication éditée par l’UFC-Que choisir.

Comme sa grande sœur, ce mensuel est sans publicité, ce qui signifie d’une part que sa survie dépend uniquement de ses abonnés (29 € pour 11 numéros par an), et que d’autre part la rédaction de ses articles n’est absolument pas soumise à la pression de l’industrie pharmaceutique, des milieux médicaux, des pouvoirs publics, mutuelles et assurances.

Son apparence diffère totalement en revanche de la revue Que Choisir : le faible nombre de pages (16 au total) faites de papier un peu épais, en couleurs, peut étonner.

C’est que la qualité du contenu prime sur la quantité, contrairement à bon nombre d’autres médias qui nous submergent d’informations sur notre santé très peu fiables, au final. A chaque nouveau numéro sont renouvelés les cinq à six experts de la santé qui valident l’information diffusée par les journalistes.

Chaque numéro s’ouvre sur un dossier, suivi d’une « histoire de santé », de l’analyse d’une maladie précise, et d’une fiche médicaments. En dernière page, un « gros plan » synthétise quelques recommandations ou explications, abondamment illustrées par des dessins.

Fiable, clair et donc indispensable !

La mise à jour de la revue de presse ci-dessous se fera toujours un jeudi, le mois suivant la parution du dernier numéro, ou davantage, afin ne pas porter tort au magazine, mais au contraire de le faire connaître et de le soutenir dans sa démarche.

Revue de presse

- Médicaments, chutes et effets secondaires : le lien entre la prise d’au moins deux médicaments et la chute de personnes âgées est maintenant clairement établi, de même que les effets indésirables des médicaments anti – cholestérol (Que Choisir, mai 2012, n°61).

- Aspirine et cancer : trois nouvelles études montrent l’intérêt sur le rôle de la prise régulière d’aspirine contre les cancers (Que Choisir, mai 2012, n°61).

- Gros plan sur… la gueule de bois (Que Choisir, janvier 2012, n°57).

- Pendant longtemps, maladie rimait avec repos. Depuis une dizaine d’années, il est prouvé que la pratique d’une activité physique (30 minutes par jour et pas seulement le week-end) comporte de nombreux bienfaits : meilleur moral, qualité de vie, prévention des récidives. (Que Choisir, juin 2011, n°51).

- Gros plan sur… le brossage des dents : pour les petits et les plus grands (Que Choisir, juin 2011, n°51).

- De plus en plus d’entre nous consultent le web pour s’informer sur la moindre maladie. Sur les 9 sites « santé » (Passeportsante.net, eurekasante.fr, sante-az.aufeminin, sante-medecine.commentcamarche, linternaute.com/sante, medisite, santepratique, doctissimo, e-sante) analysés par des médecins, nombreux sont ceux qui donnent des indications fausses ou contradictoires, ne déclarent pas leurs liens avec l’industrie pharmaceutique et inondent leurs pages de publicités. Il n’y a donc en tout et pour tout que 2 sites qui obtiennent une note tout juste correcte pour leur présentation-ergonomie, leur indépendance-publicité, et la pertinence de leurs informations pour deux maladies prises au hasard : il s’agit de

Passeportsante.net

(site canadien seul dépourvu de pub, ergonomique, aux informations exactes mais lacunaires)

et Eurekasante.fr

(site français plutôt fiable, appartenant au Vidal, financé par l’industrie pharmaceutique)

 

- Gros plan sur… protéger son dos dans les activités ménagères : le mieux est d’aller consulter cette page bien pratique et illustrée où l’on vous conseille par exemple d’utiliser un caddie ou d’équilibrer votre charge sur deux sacs (Que Choisir, décembre 2010, n°45).

- Histoire de santé : témoignage « Courir, c’est ma thérapie contre le cancer » d’un marathonien âgé de 53 ans, opéré d’un cancer du poumon en 2009. Cancérologue au CHU Avicenne, le Dr Bouillet préconise effectivement la pratique d’un exercice physique régulier, 3 fois par semaine, dès le début du traitement, avec progressivité des efforts et activité adaptée selon les cas, car contrairement à ce qui se dit, et les antidépresseurs, anti-inflammatoires ou amphétamines donnés pour lutter contre la fatigue, l’activité physique est la seule thérapie efficace pour les malades fatigués par le cancer (Que Choisir, octobre 2010, n°43).

- Dossier : chirurgie de la vision, les techniques et leur fiabilité : attention, la chirurgie réfractive ne fait pas de miracle, le risque zéro n’existe pas, et elle n’est pas prise en charge par la sécurité sociale. (Que Choisir, octobre 2008, n°21).

- Histoire de santé : témoignage sur les bienfaits du Qi Gong d’une personne atteinte d’un cancer du sein avec complications. Il s’agit d’une gymnastique de santé vieille de 2000 ans, inspirée de la philosophie chinoise : cette discipline améliore le contrôle du corps et de l’esprit par des exercices pratiqués debout, assis ou couché. (Spécialistes : Dr Yves Réquéna, médecin acupuncteur, professeur de Qi Gong ; Marceau Chesnault, actuellement en Chine auprès des grands maîtres pour son post-doctorat sur le Qi Gong). (Que Choisir, octobre 2008, n°21).


Les 100 meilleurs aliments pour votre santé et la planète ** du Dr L. Chevallier (2009)

07.01
2011

« L’alimentation a plusieurs fonctions essentielles : apporter du carburant, des matériaux de construction pour votre organisme, et vous assurer du plaisir. Le carburant et les matériaux de construction doivent être de qualité, ce qui n’est pas toujours le cas avec une certaine forme d’alimentation industrielle. Le plaisir gustatif, quant à lui, doit retrouver la saveur naturelle des aliments non transformés et ne pas se laisser détourner par des produits possédant moult ajouts d’arômes – de synthèse le plus souvent-, de sel, de sucre ou d’édulcorants-, ce qui n’est pas sans conséquence avec l’émergence de diverses maladies. De nombreux industriels avancent des « études » qui font état d’allégations santé concernant certains produits dont [on lire] que les intérêts santé sont discutables sur le plan scientifique ; de plus, ils sont vendus beaucoup plus chers. » (p. 11)

Le Docteur Laurent Chevalier, praticien attaché au Centre hospitalo-universitaire de Montpellier et responsable en cliniques des pôles Nutrition, se propose ainsi de nous y aider à y voir clair en passant en revue chaque catégorie d’aliments, au sein de laquelle il met en avant quelques produits.

Dans son premier chapitre, il commence par nous rappeler « les 10 principes fondamentaux pour manger moins cher et se comporter en consommateur averti » :

1- Eviter d’acheter les margarines, produits laitiers et autres enrichis en vitamines, stérols, oméga 3, etc. (ex. : Actimel), et plutôt acheter des produits de bonne qualité non modifiés.
2- Eviter d’acheter les boissons rafraîchissantes sans alcool (ex. : Coca light, Red Bull), et plutôt boire de l’eau, seule boisson vraiment désaltérante.
3- Eviter d’acheter l’eau en bouteille (à part peut-être Hépar ou Contrex pour le calcium et le magnésium) et boire de l’eau du robinet.
4- Eviter d’acheter les biscuits et divers produits céréaliers, et plutôt faire soi-même ses pâtisseries.
5- Faire ses courses le ventre plein.
6- Préparer les menus pour la semaine avant d’aller faire les courses.
7- Diminuer les portions de viande (3 à 4 fois par semaine maxi.) et agencer plutôt vos menus en fonction des légumes comme élément central.
8- Favoriser l’achat en « circuit court » (les AMAP)
9- Préparer soi-même le plus de produits : yaourts, pains, sauces, etc. grâce aux multiples robots qui facilitent la tâche et permettent un gain de temps.

10- On ne jette pas la nourriture, on utilise les restes et on adapte le contenu de son assiette en fonction de son âge, de ses besoins et de ses goûts.

Dans son second chapitre, il liste les colorants, composants, additifs, édulcorants, l’huile de palme, le colza, les « arômes de synthèse » ou « arômes » ou « arômes naturels » (préférer « arôme naturel de… ») à boycotter. A la suite de ce chapitre, il explique en quoi notre sécurité alimentaire n’est pas suffisamment assurée. Dans le quatrième chapitre, il rappelle 10 astuces pour mieux contrôler notre poids : mastiquer, boire de l’eau, limiter le sucré, le gras, le salé, éviter les produits « plaisir » d’origine industrielle, les produits « light » ainsi que les produits contenant des arômes de synthèse et des conservateurs, manger légèrement le soir pour mieux contrôler votre poids, bien dormir, se dépenser physiquement, méditer pour distraire son esprit à chaque pulsion alimentaire. Bio, développement durable, commerce équitable, OGM, chewing-gum à la poubelle, sont autant de sujets qu’aborde le Dr Chevalier avant de nous suggérer quelques principes de bon sens pour composer nos différents repas dans la journée, avec des produits français pour limiter les transports entre autres choses.

A la suite de tous ces conseils généraux, l’auteur nous suggère dans la deuxième partie de l’ouvrage, catégorie d’aliment après catégorie d’aliment, ce qu’il faut faire et même les produits de marques qu’il a testés et qu’il nous conseille d’acheter, parmi lesquelles de nombreuses marques bio ou du commerce équitable. Il agrémente ses recommandations de quelques recettes à faire nous-mêmes : soupes, gaspacho, saumon fumé, pain, lotte, petit-beurre, brioche fine, croissants, pâtes, pâtes feuilletées, brisées, sablées, yaourts, compotes, pizzas…

Un bon guide, qui remet bien les idées en place sur notre manière de nous alimenter sainement et de manière écologique. Nonobstant, il est dommage que les marques de produits cités soient en général des « valeurs sûres », réputées et onéreuses : difficile de s’imaginer ce docteur, n’ayant certainement pas le pouvoir d’achat du quidam, allant dans tous les supermarchés, même les hard discount…

Chevallier, Laurent. Les 100 meilleurs aliments pour votre santé et la planète. FAYARD, 2009. 1 vol. (333 p.) ; couv. ill. en coul. ; 24 cm. . ISBN 978-2-213-63824-9 : 19 €.
Cote : 613.2 CHE
Emprunté au CDI

Courir pour maigrir de Markus Hederer

12.12
2008

 

cop. Vigot

Voici un excellent ouvrage pédagogique pour tous ceux qui veulent mincir, en choisissant de courir tout en s’alimentant de manière équilibrée.

Ce sont ainsi différents types de conseils qui jalonnent ce documentaire. D’abord diététiques, dissociant les « mauvais » glucides simples des glucides complexes (pommes de terre, céréales complètes, légumineuses), les graisses saturées à éviter (viande rouge, produits laitiers, charcuterie, huile de coco et de palme, pâtisseries, biscuits, cacahuètes, biscuits apéritifs) des graisses insaturées (huiles végétales, poissons), insistant sur la nécessité de combiner des protéines d’origine animale et végétale et préconisant des aliments d’indice glycémique faible ;
ce sont ensuite l’énumération des innombrables bienfaits du jogging sur la santé, des conseils sur la meilleure manière de brûler ses graisses en courant, sur l’achat d’un cardiofréquencemètre et de sa tenue, sur la progression du débutant au confirmé, sur le calcul du FCM, sur les exercices de mobilisation avant et d’étirement après, sur les meilleurs moments dans la journée pour courir (le matin à jeûn ou en fin d’après-midi), etc…

Véritablement un bon outil pour prendre à bras le corps nos problèmes de poids !!! Incontournable après les fêtes !

A retenir :
- « Le fait de courir régulièrement régule l’appétit. La combustion accrue du glucose sanguin durant l’effort se traduit par une moindre libération d’insuline, hormone produite par le pancréas pour dégrader les sucres, et donc par une diminution de l’appétit. »

- « le corps brûle plus de calories, non seulement en cours d’effort, mais aussi pendant les 24 heures qui suivent. » (p. 11)

- « (…) Tout compte fait, il semble bien que ce soit en augmentant la cadence jusqu’à sa Fréquence Cardiaque Limite (voir p. 31) qu’on brûle le plus de graisses. Au-delà commence la zone de travail en anaérobie, où la combustion des graisses s’interrompt. » (p. 32)

HEDERER, Markus. Courir pour maigrir. Vigot, 2007. 127 p.. Santé & Bien-Etre. ISBN 978-2-7114-1915-9 : 11 €.

Les techniques de lutte contre le vieillissement */Christophe de Jaeger (1999)

11.09
2005

Pour ce directeur de l’Institut du vieillissement, le processus du vieillissement, avec son cortège de dégradations physiques et psychiques n’est pas inéluctable, mais il regrette le fait qu’encore trop peu de médecins pensent comme lui. Il se propose donc dans cet ouvrage d’évoquer « les différentes possibilités« , prouvées scientifiquement, « qui peuvent nous permettre d’améliorer la qualité de notre vieillissement donc notre qualité de vie et peut-être également notre longévité personnelle » (p. 5). Après avoir exposé les différentes théories connues à ce jour, il énumère les facteurs de vieillissement :

1. Les causes génétiques, héréditaires.
2. L’absence d’usage ou le mauvais usage d’une fonction ou d’une aptitude pendant la croissance et l’âge adulte : l’absence d’activité physique, par exemple, accentue le vieillissement de l’appareil locomoteur.
3. Les facteurs de risque, comme les facteurs alimentaires (sont les plus exposés les sujets peu actifs et suralimentés), les toxicomanies de masse (tabac, alcool) et toutes les situations anxiogènes de la vie quotidienne.
4. Les maladies intercurrentes : maladies graves, traumatismes phyisques ou affectifs, surtout passée la soixantaine.

Messieurs-dames, vous observerez qu’en vieillissant votre poids augmente (à partir de 50 ans chez les hommes, 60 pour les femmes), votre taille diminue (de 3 cm pour les hommes, de 4 à 5 cm pour les femmes), votre peau perd de son élasticité et se ride, vos cheveux leur couleur. Et le reste, vos organes, vos muscles, vos neurones, est comparable.
De même, vous remarquerez qu’un tel ne fait pas son âge, alors qu’on aurait cru plus vieux tel autre. C’est que les individus ne sont pas égaux face au vieillissement, et l’âge physiologique ou fonctionnel n’est pas forcément révélateur de l’âge chronologique d’un individu, mais, bonne nouvelle pour certains, reflète effectivement son état biologique exact ! Si vous faites plus jeune que votre âge, c’est que vous vieillissez effectivement moins vite !

Faites un test les yeux fermés, debout sur une jambe : un adulte de 20 ans peut tenir presque indéfiniment, un adulte de 30 ans environ 25 secondes, un adulte de 50 10 secondes et un de 80 ans ne peut plus tenir en équilibre.

Mais qu’est-il possible de faire individuellement pour vieillir le moins vite possible, ou le mieux possible ?

Passons donc aux techniques non hormonales de lutte contre le vieillissement.

Or sachez qu’à ce jour la seule intervention qui soitréellement efficace pour maintenir « jeunes plus longtemps » de façon significative et reproductive les animaux de laboratoire et augmentée leur durée de vie maximale, c’est de…

MANGER MOINS !

La restriction calorique a « pour objectif de diminuer les apports caloriques en évitant soigneusement les carences en nutriments essentiels tels que les acides aminés, les acides gras, les vitamines et les minéraux. »(p. 45), par exemple de ne consommer pour un adulte que 1800 calories par jour (sans perdre au fil du temps plus de 20 % de son poids initial).  »Les apports nutritionnels quotidiens devraient comprendre des apports modérés en protéines (de préférence végétales), modérés en lipides (en préférant (ceux de) qualité comme l’huile d’olive), riches en fibres, pauvres en glucides rapides et riches en glucides complexes. » (p. 58)

« L’exercice physique est sans aucun doute utile pour le maintien d’une bonne santé et donc favorable à la longévité. » Il « doit être réparti, au mieux, en trois fois vingt minutes dans la semaine. » (p. 67) Car « seuls les individus ayant une activité physique moyenne bénéficiaient d’une réduction de la mortalité. » (p. 69) Pas les sportifs, ni les inactifs.

Quelles sont sinon les techniques non hormonales de lutte contre le vieillissement ?
On a bien entendu beaucoup entendu parler de la DHEA qui semble présenter un intérêt indiscutable sur la qualité de vie de l’individu.
Mais deux méthodes ont prouvé actuellement leur réelle efficacité contre le vieillissement : la restriction alimentaire et la mélatonine, laquelle ne présenterait ni danger (???), ni toxicité, ni risque de dépendance, et peut être prescrite par un praticien et prise le soir.

Comme vous venez de le lire, voici un petit Que sais-je bien instructif. Ami internaute de passage, médecin ou chercheur, j’attends que vous confirmiez ou infirmiez ces informations, en particulier concernant la mélatonine !

Les techniques de lutte contre le vieillissement /Christophe de Jaeger. – PUF, 1999. – 125 p.. – (Que sais-je ; 3463).

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