A la suite d’un troisième volet faible scénaristiquement, Gradimir Smudja s’enfonce définitivement avec la suite de cette histoire hippique complètement absurde, et présentant peu d’intérêt.
Une prouesse graphique coulée par un délire anthropomorphique.
Tags: artiste, Gradimir Smudja, Henri de Toulouse-Lautrec, La Belle Epoque, relation humain-animal