Après l’excellent outil confectionné par Jean-Marie Roth, je me suis penchée sur celui de Franck Haro. S’ils semblent en désaccord sur la longueur du pitch - une phrase simple et courte qui résume l’idée maîtresse du film -, du synopsis – entre 4 lignes et une page et demie maximum - et du traitement – document d’une vingtaine de pages voire plus, où l’histoire est développée dans son intégralité. Pas de dialogues ni de description, mais tous les personnages, les intrigues secondaires, les décors, les rebondissements -, ils se retrouvent sur les techniques dramaturgiques mises en place dans un scénario. Franck Haro insiste dès le début sur le produit fini, c’est-à-dire celui qu’on adresse au producteur. Ainsi, à l’intérieur du dossier paginé, sur la couverture duquel figurent les coordonnées de l’auteur et le titre en mentionnant « titre provisoire » dessous, on trouve le pitch, le synopsis, le traitement, la note d’intention, la continuité dialoguée et le CV du scénariste.
Un bon guide pour les grands débutants.
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