
cop. Picquier
Titre original : Chuin no hana (Japon, 2001 – France, 2008)
Médium, Mme Ume a prédit sa propre mort, laquelle s’accompagne de phénomènes inhabituels qu’observe Sokudô, jeune bonze qui a la charge d’un petit temple dans les montagnes, sans en dire un mot, tandis que sa femme Keiko lui confie l’avoir consultée après sa fausse couche…
Sous-directeur du temple Fukujuji de la secte zen Rinzai-Myôshinji, Genyû Sôkyû a reçu en 2001 le prix Akutagawa (le Goncourt japonais) pour cette histoire tirée de son expérience personnelle de bonze. Il n’en faut pas moins pour susciter l’intérêt, mais ce court « roman » le fait vite retomber, ne dégageant rien de vraiment intéressant, ni au niveau de l’intrigue, ni au niveau de la réflexion spirituelle.
GENYÛ, Sôkyû. – Au-delà des terres infinies / trad. du japonais par Corinne Quentin. – Picquier, 2008. – 117 p.. – ISBN 978-2-8097-0014-5 : 12,50 €.« Il s’était bien dit que s’il gardait fortement la conscience qu’il était bonze, tout devrait aller bien : plus de cauchemars et pas question d’envoûtement.« (p. 57)
Tags: croyance religieuse, mort, phénomène surnaturel, Sôkyû Genyû
La couverture et le sujet m’attiraient, mais votre critique dégonfle mon intérêt
Je passe donc mon chemin, et m’attelle à d’autres lectures !!!
On hésite toujours à faire la critique négative d’un roman qui, du coup, ne trouve pas son lecteur.
C’est vraiment dommage, car j’aimais bien le résumé de l’histoire !!
Peut-être l’apprécieras-tu. Chaque livre peut trouver son lecteur.